18 Avril 2016
A vous de retrouver... la grenouille verte, le lézard de l'Atlas, le lézard ocellé, la rainette, le discoglosse peint, le seps du haut Atlas, la très rare vipère naine de l'Atlas, très venimeuse et capturée hier par Abdou!
On est parti de la source car c’est l’élément nécessaire à la vie.
1. La source : c’est un lieu sain. Voici les animaux que l’on a vus :
2. Les endroits secs : on dirait que la terre est du sable. Voici les animaux et les fleurs qu'on a observés :
3. Le barrage : animaux que l’on a vus :
Baptiste, Sioban, Elio et Marsil
J’étais tranquillement dans la nature quand tout à coup je vis un groupe de géants en train d’observer attentivement une vipère de l’Atlas, ma prédatrice : j’étais morte de peur! Mais heureusement un géant encore plus grand que les autres qu’ils appelaient « Abdou le spécialiste des reptiles » la prit avec un bout de bois. Il reposa ensuite le reptile dans son lieu de vie. J’avais quand même peur que cette personne me capture avec son bout de bois MALEFIQUE !! C’est pourquoi je me mis à suivre ces géants et leur expédition jusqu’au ruisseau où ils trouvèrent mon ami Arthur le crapaud commun : mais là encore, ils l’inspectèrent et le tripotèrent avec leurs gros doigts. Ce groupe commençait à m'intriguer; je décidai donc de le suivre jusqu'au barrage. Mince, que se passe-t-il? je n’arrive plus à respirer... il y a tellement de pollution !
Je ne vois vraiment pas comment mes autres cousines, les rainettes et les grenouilles vertes peuvent respirer sous cette horreur ! Mais comment font-elles pour vivre au milieu des égouts et des sacs plastiques? Mais oui! je viens de me souvenir qu’elles se nourrissent d’insectes et plus il y a de pollution plus il y a d’insectes. J'eus du mal à m’extirper de cette saleté... quand je fus saisi d'effroi : je découvris des cadavres de grenouilles au fond de certains sacs plastiques. Elles étaient mortes étouffées. Je commençais à paniquer et rejoignis rapidement la rive : je surpris Julie et Lucas, des cousins éloignés, en train de s’accoupler. Afin de ne pas les déranger, je fis comme si je ne les voyais pas et je continuai ma route. Incroyable, je me retrouve nez à nez avec une rainette noire (on n’en voit pas toujours : c’est une couleur très rare chez les rainettes). La pauvre, elle aussi subit la même persécution de la part du groupe. Enfin, ils partirent et le silence revint et je décidai de retourner vivre dans ma source pure.
Signé M. Antoine le crapaud
Shemsy, Kenza, Zineb, Doha, Radya, Ghita.D, Malak